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[/vc_column_text][/vc_column][vc_column][vc_empty_space][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/2″][vc_single_image image= »22641″ img_size= »medium » alignment= »center »][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/2″][vc_column_text]Des questions ? Nous apportons les réponses.
[/vc_column_text][thb_button link= »url:https%3A%2F%2Feastisred.fr%2Fservices%2F|title:Essayez%20nos%20solutions|target:%20_blank| » extra_class= »center-content »][vc_empty_space height= »16px »][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row] [vc_row el_id= »Affairesdomestiques »][vc_column][vc_row_inner el_id= »FocusInterieur »][vc_column_inner][vc_empty_space][thb_title style= »style6″ title= »Promouvoir la natalité dans le Shanxi »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]Le Shanxi n’est pas réputé pour être une province innovante, la ville de Jincheng est peu connue en Chine et le comté de Zezhou est un petit bout de rien qui n’a pas l’habitude d’attirer l’attention. Ce comté a pourtant fait les titres en début de semaine avec un ambitieux plan de promotion de la natalité et des idées surprenantes.
Le principal plan de cette municipalité est d’offrir 10 points supplémentaires à l’examen pour entrer au lycée (中考). Cet examen, lui aussi très compétitif, est d’autant plus crucial qu’une mauvaise note amène à un mauvais lycée et par conséquent des chances de réussites au bac (高考) fortement réduites. Zezhou a donc décidé d’offrir au 2e et au 3e enfant 10 points supplémentaires à cet examen.
Ce n’est pas tout. Le comté a également décidé de réductions d’impôts et de subventions. Par exemple, il est question d’exemptions fiscales pour les crèches et les jardins d’enfants. Entre de subventions, les familles peuvent prétendre à plusieurs subventions de milliers de RMB pour du lait en poudre et autres services. Enfin, les femmes enceintes peuvent bénéficier de 218 jours de congés maternité.
Mais si Zezhou a fait les gros titres ce n’est pas tant pour la générosité des mesures que les problèmes qu’elles posent. En particulier cet ajout de points pour les candidats à l’examen du lycée est tout bonnement illégal, les comtés n’ayant pas les compétences juridiques pour ajouter des points à un examen provincial. A travers le cas de Zezhou, ce sont les problèmes de la politique nataliste chinoise qui sont exposés : les gouvernements locaux ne peuvent pas tout prendre en charge, et l’État central va devoir intervenir.
[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Promouvoir la recherche et les enquêtes au sein du Parti »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]Dimanche 19 mars, les autorités du Parti ont publié un long document visant à promouvoir et systématiser les pratiques d’enquêtes et de recherche au sein du Parti. Voici ce qu’il faut en retenir :
- Les premières sections du document attestent de son importance. En substance, il est dit que depuis l’arrivée au pouvoir de Xi Jinping, ce dernier a mis l’accent sur la recherche comme base de travail : sans enquête, sans établir les faits, impossible de gouverner.
- Dans la section suivante sont décrites les principales exigences : sans surprise, adhérer à la pensée de Xi. Plus important toutefois : suivre la ligne de masse (群众路线) – concept maoiste selon lequel les réponses aux problèmes existent au sein du Peuple, le Parti devant les comprendre et les retranscrire en politiques publiques. Dit simplement, aller au contact des gens pour comprendre leurs problèmes.
- Enfin, la section suivante décrit les domaines qui doivent être étudiés. Par ordre d’importance : la mise en application de la pensée de Xi (surprise) ; les réformes économiques et notamment la montée en gamme industrielle et technologique ; équilibrer et coordonner la sécurité et le développement (sécurité alimentaire, mais aussi des chaînes d’approvisionnement) ; la gouvernance par le droit ; les problèmes idéologiques, etc.
En une phrase, ce document signifie davantage de sessions d’études et de déplacements de terrains pour les cadres du Parti, renforçant à la fois leur endoctrinement idéologique tout en s’assurant qu’ils ont bien compris quelles sont les priorités politiques et économiques nationales.
[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Le choix de l’expatriation pour les prolétaires des géants de l’internet »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]Alors que l’empreinte globale de la Chine et de ses entreprises augmente, les jeunes chinois sont davantage amenés à s’expatrier pour travailler. 36Kr a compilé quelques témoignages de ces jeunes, s’étant rendus en Bolivie, en Irlande, en Allemagne ou au Bahreïn.
A la lecture, cet article donne quelques détails sur les motivations des différents employés et leur vision de l’expatriation. Entre bien entendu l’éloignement du pays et les peines imposées par des environnement parfois difficiles, tous néanmoins célèbrent cette aventure, quelque soit les raisons qui les ont poussé à quitter la Chine. Pour certains, c’était une envie de découverte. Pour d’autres, c’est l’envie d’échapper au 996, rythme de travail insensé des entreprises chinoises.
[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_empty_space][vc_separator color= »juicy_pink » border_width= »3″][vc_empty_space][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row] [vc_row el_id= »Economie »][vc_column][thb_title style= »style4″ title= »Economie & industries »][vc_empty_space][vc_row_inner el_id= »FocusEco »][vc_column_inner][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »L’intelligence artificielle revient au centre du jeu en Chine »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]Notre contributeur Jean-Yves Larguier a récemment répondu à la question simple mais cruciale “pourquoi ChatGPT n’est pas chinois”. Son article rappelle également l’électrochoc suscité par la publication de GPT-3 puis désormais GPT-4, qui impressionnent en comparaison notamment avec les modestes performances de l’IA générative de Baidu (ERNIE).
ChatGPT a lancé une compétition acharnée en Chine, mais aussi relancé le mercato des stars de l’IA. Par exemple, lundi 21 mars, Lee Kaifu a annoncé la création de sa startup appelée Project AI 2.0 qui se focalise sur la création d’applications similaires à ChatGPT : par exemple, intégrer un modèle génératif dans un éditeur de texte. Investisseur chevronné, Lee cherche désormais des talents pour participer à son projet.
Lee n’est pas le seul à se lancer dans cette aventure. Le cofondateur de Meituan a créé la startup Guangnian Zhiwai). Une autre rumeur du jour est la possible démission de l’une des actuelles vice présidente de Alibaba,Jia Yangqing (贾扬清). Jia est une pointure de l’IA, ayant travaillé chez Google et Facebook. Elle a participé à la création de Tensorflow & PyTorch, deux frameworks d’apprentissage très utilisés.
Après avoir rejoint Alibaba en 2019, elle a travaillé sur les plateformes de calcul intensives, les laboratoires consacrés aux frameworks d’apprentissage ou encore la gestion des modèles avec de grandes quantités de données. Sa démission proche et la création d’une nouvelle startup de l’IA promet des batailles passionnantes.
[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Véhicules électriques »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]Huit mois après le début de l’enquête, les autorités ont enfin annoncé plusieurs chefs d’inculpation retenus contre Zhao Weiguo. Le document rapporté par Caixin explique décrivent de graves manquements à la discipline : un abandon des devoirs liés à sa mission, un enrichissement personnel éhonté, le recours systématique au népotisme et favoritisme pour promouvoir ses intérêts.
Les annonces sont d’autant plus percutantes que Zhao n’était pas directeur d’une petite entreprise d’État provinciale mais d’un conglomérat géant de la technologie chinoise, Tsinghua Unigroup. Ce géant était impliqué dans les semiconducteurs, dans leur conception notamment, mais était aussi actionnaire de YMTC (mémoires) et CXMC. Richement doté en moyens financiers, l’entreprise était régulièrement sous le feu de la critique pour son manque d’efficacité supposé.
Cette mise en examen est peut être l’un des plus importants symboles de la volonté de remise en ordre du secteur technologique (avec le fond national pour la micro-électronique). Cette arrestation ne sera pas la dernière, et la condamnation fera certaine office d’exemple.
[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Alibaba derrière des expérimentations de voitures autonomes ? »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]Les rues de Shenzhen ont découvert une nouvelle entreprise de “robotaxi”, véhicules semi-autonome (L4) parcourant les rues sans pilotes. Cette entreprise, Yuanrong Qixin (元戎启行), n’en est pas à son coup d’essai et a commencé l’entraînement de ces véhicules depuis près de deux ans, ses voitures ayant parcouru plus de dix millions de kilomètres.
La nouveauté qui justifie cette inclusion dans le Passe Muraille tient dans les infrastructures cloud qui permettent le développement des modèles d’apprentissage des véhicules. On apprend que c’est Alibaba Cloud Box qui fournit les infrastructures cloud et notamment assuré la localisation des données, point désormais clé en matière de mise en conformité pour les entreprises de la conduite autonome.
Cette question se pose d’ailleurs pour Tesla, qui doit faire face à des défis de localisation des données utilisées pour l’entraînement de ses véhicules.
[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_empty_space][vc_separator color= »juicy_pink » border_width= »3″][vc_empty_space][vc_row_inner content_placement= »middle »][vc_column_inner alignment= »center »][vc_column_text]Etudes, monitoring, formation : découvrez nos services[/vc_column_text][thb_button animation= »animation right-to-left-3d » link= »url:https%3A%2F%2Feastisred.fr%2Fservices%2F|title:Essayez%20nos%20solutions|target:%20_blank| »][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_empty_space][vc_separator color= »juicy_pink » border_width= »3″][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row] [vc_row el_id= »Affairesdiplomatiques »][vc_column][thb_title style= »style4″ title= »Diplomatie & militaire »][vc_empty_space][vc_row_inner el_id= »FocusDiplomatique »][vc_column_inner][thb_title style= »style6″ title= »Xi Jinping en Russie »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]Peu enclin à écrire sur les sujets internationaux, cette semaine ne me laisse pas le choix. La visite de Xi Jinping en Russie concentre l’attention : pour certains, Xi est allé négocier une paix entre la Russie et l’Ukraine. Pour d’autres, ce n’est qu’une preuve supplémentaire que Chine et Russie sont bras dessus bras dessous dans leur lutte contre l’hégémon américain.
Une chose est sûre, lundi 20 mars, la propagande chinoise célèbre ce voyage qui vise à renforcer les relations entre les deux pays. Le Quotidien du Peuple comprend plusieurs articles sur la visite. Un article de Xi Jinping dans les médias russes, un article de Poutine dans les Quotidien du Peuple, des entretiens avec différents personnages travaillant pour la relation sino-russe et son approfondissement.
Que retenir de ces visites. La première chose, que chacun voit ce qu’il veut y voir : Xi Jinping n’aura pas communiqué sur d’éventuelles « plans de paix » (il n’y en a pas, le document publié en février était un document de positionnement). Dans le même temps, Xi n’a pas publiquement annoncé un soutien sans faille et sans limite à la Russie. Pékin soutient l’allié russe en suivant ses intérêts : gaz bradé, accès au marché, etc.
En conclusion, les prochaines semaines permettront de tester les réalités du soutien chinois. Toute escalade (livraison de munition) serait fermement condamnée par la coalition occidentale. Pour autant, Xi Jinping a déjà montré qu’il ne comptait pas se laisser intimider par les menaces de sanctions. A suivre.
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