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Passe Muraille n°113 – Le grand chambard, Jiang Zemin, véhicules électriques

Passe Muraille n°113 – Le grand chambard, Jiang Zemin, véhicules électriques

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[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][thb_title style= »style7″ title= »Editorial »][vc_column_text animation= »animation fade-in »]Le Passe Muraille est une lettre hebdomadaire dédiée à l’actualité chinoise. Nous sélectionnons différents sujets sociétaux, économiques et diplomatiques dont peu relatés par la presse généraliste.

Une bonne lecture.

Bonne lecture!

Pierre[/vc_column_text][vc_empty_space height= »48px »][vc_empty_space][vc_empty_space height= »16px »][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]

Sommaire

 

Politique & société

Economie & industries

Diplomatie et militaire

[/vc_column_text][vc_row_inner][vc_column_inner alignment= »center »][vc_empty_space height= »18px »][vc_column_text]

Des questions ? Nous apportons les réponses.

[/vc_column_text][thb_button link= »url:https%3A%2F%2Feastisred.fr%2Fservices%2F|title:Essayez%20nos%20solutions|target:%20_blank| »][vc_empty_space height= »16px »][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row][vc_row el_id= »Affairesdomestiques »][vc_column][vc_row_inner el_id= »FocusInterieur »][vc_column_inner][thb_title style= »style6″ title= »Zéro covid : la Chine vire de bord »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

La fin annoncée du zéro COVID a surpris, tant en Chine qu’ailleurs. EastIsRed a fait partie de ceux qui ne l’ont pas vu venir, du moins pas à cette vitesse. Les manifestations ont montré l’exaspération populaire dirigée contre la politique épidémique, mais nous pensions le gouvernement bloqué par le besoin de maintenir un contrôle strict pour prévenir les risques d’infection généralisée. Les études internationales sont en effet très pessimistes quant aux risques de surmortalité dans une population chinoise mal immunisée au COVID. 

Nous n’avons pas été les seuls surpris. Les gouvernements locaux eux-même l’ont été. Dans les jours qui ont suivi les manifestations, les mesures se succèdent de manière aléatoire. Le 30 novembre, alors que Pékin annonce la fin de certaines des mesures les plus critiquées, la municipalité de Guangzhou discute d’une prolongation des quarantaines à domicile jusqu’à l’élimination du foyer. 

Pour être francs, nous avons un peu perdu le cours des différentes mesures. Pékin, Shanghai ou encore Guangzhou lâchent du lest sur les tests PCR, mais d’autres villes au Jiangxi ou dans l’Anhui enferment toujours des habitants dans leur bâtiment. Des témoins ont indiqué à EastIsRed que les consignes du comité de quartier se contredisent d’un jour à l’autre. Désormais, le gouvernement indique que la “plupart des cas positifs pourront se confiner à la maison”. Reuters table sur une annonce prochaine d’une classification “moindre” de la sévérité de l’épidémie, une anticipation partagée par EastIsRed dans de précédents Passe Muraille.

Le plus remarquable est le changement de ton du discours officiel. En l’espace d’une semaine, le COVID est passé d’un virus mortel contre lequel il faut se protéger à un variant peu dangereux. Dans un éditorial publié le 5 décembre, Xinhua explique doctement que le pire de l’épidémie est déjà passé. La girouette de l’internet chinois, Hu Xijin, qui réussit à dire tout et son contraire chaque mois, rapporte maintenant qu’il s’attend à attraper le COVID dans le mois.

Devant cette séquence aussi imprévisible que dangereuse, EastIsRed se retient à tout commentaire trop arrêté. Une chose est sûre : la période qui s’ouvre est pleine de risques. Le système de santé chinois reste fragile, et une circulation du COVID va entraîner des cas graves et probablement des morts. Les prochaines seront critiques.

 

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Décès de Jiang Zemin »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Le 30 novembre 2022, l’ancien secrétaire général du Parti communiste chinois Jiang Zemin s’est éteint à 96 ans. M. Jiang avait été nommé à la tête du PCC en juin 1989, juste après la répression des manifestations qui ont ajouté le pays. Il restera l’homme fort du régime jusque dans les années 2000, y compris après avoir cédé son siège à Hu Jintao en 2002. 

Alors que le pays vient de traverser des manifestations sans précédent durant la dernière décennie, le décès de Jiang Zemin aurait pu être une étincelle supplémentaire dans ce climat incertain, comme ce fut le cas en 1989 avec Hu Yaobang. Mais la comparaison tourne court, tant les personnages et circonstances sont différentes.

Le décès de l’ancien secrétaire général du Parti a bien sûr provoqué une forte émotion : les principaux médias, sites gouvernementaux ou encore sites de e-commerce ont mis leurs sites en noir et blanc jusqu’au weekend. De manière générale, la jeunesse qui a en partie grandi avec son image se rappelle d’un homme débonnaire et souriant, chantant. Un personnage qui dénote de l’actuelle équipe dirigeante. 

Pour autant, les autorités ont su déminer toute instrumentalisation des événements par une population encore en colère contre la politique zéro covid. Les citoyens ont largement pu exprimer leur deuil et sentiments sur les réseaux sociaux. Les autorités ont aussi insisté sur le cérémonial. Lundi 5 décembre, le secrétaire général Xi Jinping et d’autres dirigeants se sont rendus à l’hôpital pour une cérémonie d’adieu avant d’accompagner le corps à Babaoshan, montagne dans les environs de Pékin. 

Pour aller plus loin, la conversation ChinaFiles dédiée à Jiang Zemin. Notons que Hu Jintao était présent lors de la cérémonie.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Les ambitions de l’Université de Shenzhen »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Dans le Sud de la Chine, les grandes universités sont légions. Au premier rang desquelles,  SusTech, la Southern University of Science and Technology (南方科技大学), dotée d’un confortable budget de plus de 4.1 milliards d’euros. Mais l’université de Shenzhen se veut une rivale. Bien que plus petite en taille et bien en retard dans les classes, l’université de la ville modèle du développement chinois ne lésine pas sur les efforts. Avec un budget de près d’un milliard et demi d’euros, l’université accueille des collaborations avec les grandes entreprises de technologie locale, BGI (biotech), Huawei (communications), DJI (drones). Enfin, point marquant de cette “petite” université ambitieuse, l’administration a cherché à mettre en place un système de responsabilité de l’administration et des professeurs afin d’encourager à la performance (publication) et ainsi instaurer une compétition entre les équipes. 

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_empty_space][vc_separator color= »juicy_pink » border_width= »3″][vc_empty_space][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row][vc_row el_id= »Economie »][vc_column][thb_title style= »style4″ title= »Economie & industries »][vc_empty_space][vc_row_inner el_id= »FocusEco »][vc_column_inner][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Difficultés conjoncturelles pour l’automobile électrique chinoise »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Si les constructeurs d’automobiles électriques chinois deviennent de sérieux compétiteurs aux groupes occidentaux comme Tesla ou Daimler, ils ne sont pas insensibles aux problèmes conjoncturels. En effet, alors que l’impact économique de la politique zéro COVID se fait sentir davantage chaque mois, la demande s’effondre. Plusieurs constructeurs réagissent par des licenciements ou des baisses de salaire : les cadres de Weltmeister (WM) toucheront moitié moins et les employés un tiers. Les difficultés de WM sont telles qu’elle a décalé le jour de paye du 8 au 25 du mois. Ses pertes nettes sont désormais estimées à 1.2 milliards en 2021 – contre 5.1 milliards en 2020. Les chiffres 2022 risquent d’être pires.

Le marché de l’automobile électrique se grippe, et Tesla prévoit aussi des adaptations. Après un accident meurtrier en novembre qui a terni l’image de la marque, l’entreprise d’Elon Musk a procédé à des réductions et à des offres d’achats pour booster ses ventes. Mais devant la conjoncture négative, Tesla prévoit de baisser de 20% la production dans sa gigafactory shanghaienne, fleuron du groupe.  

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XPeng ne se porte guère mieux : dans une conférence portant sur les perspectives financières du groupe, He Xiaopeng, le PDG, a prévenu les investisseurs d’une chute importante des revenus de près de plus de 40% au quatrième trimestre par rapport à l’année dernière. 

Le marché de l’automobile électrique chinois pâtit, comme le reste de l’économie, de l’incertitude causée par la politique zéro covid. 

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Starbucks ouvre en province »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Ces 90 derniers jours, Starbucks a ouvert pas moins de 229 magasins en Chine, contre 654 pour toute l’année 2020. Cette expansion sans précédent ne se fait pourtant pas dans les grandes villes connues de la côte Est (Beijing, Shanghai, Guangzhou, etc) mais dans des villes de troisième voire quatrième rang. La presse rapporte l’ouverture de magasins à Qingyuan, dans le Guangdong (1.7 millions d’habitants), Xinyu (Jiangxi, 1.2 millions d’habitants), etc.

Comme l’a indiqué Liu Wenjuan, directeur d’exploitation de Starbucks Chine, l’objectif est de s’étendre aux “3000 marchés de rang de comté” (县城及). Liu explique que ces marchés sont sensiblement différents : les gens boivent du café certes, mais nous sommes loin des habitudes shanghaiennes où chacun boit plusieurs cafés par jour. Ainsi, le défi sera de convertir les consommateurs à boire fréquemment du café, quitte à en changer les codes. 

Par exemple, les Starbucks installés à Hulunbei’er (Mongolie intérieure) ou Yunfu (Guangdong) enregistrent des ventes importantes de boissons très sucrées, frappuccino ou autre café noisette avec chantilly. Starbucks semble être en mesure de conserver dans le marché intérieur les clés de son succès ailleurs : à savoir sa fonction de “tiers lieu”. Les consommateurs viennent pour commander certes, mais aussi pour se détendre, discuter, travailler, etc.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Photolithographie chinoise »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

EastIsRed aime suivre les semi-conducteurs et cette semaine ne fait pas exception. Nous nous penchons sur les systèmes de photolithographie, l’un des maillons faibles de la chaîne de production chinoise. Les efforts chinois ne sont pas récents, et des tentatives de développer ces machines outils remontent aux années 1970. Des prototypes  ont même été mis au point dans les années 1980. Mais les “succès” scientifiques d’alors ne se concrétisent pas sur le plan industriel. En 1988, la Chine produit seulement 100 millions de circuits intégrés, un seuil atteint en 1968 par les Etats-Unis. En 2007, SMEE livre sa première machine à photolithographie en 90n, avec 20 ans de retards sur les standards étrangers.

Ces derniers jours, la presse spécialisée bouillonne à l’annonce d’un dépôt de brevet par Huawei pour un composant de lithophotographie. Non que l’entreprise puisse à elle seule débloquer la situation pour l’industrie chinoise des semi-conducteurs, mais les capacités d’innovation de l’entreprise ne sont plus à prouver. 

Les rumeurs sur le rôle de Huawei comme coordinateur officieux d’une tentative de développer des instruments de fonderie ne sont pas nouvelles. Il était un temps question que Huawei ouvre une fab en Chine.

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Ira ou n’ira pas ? La rumeur d’une visite de Xi Jinping en Arabie Saoudite court depuis plusieurs mois. La rumeur a d’abord circulé à l’été, mais il semble désormais qu’elle se précise. Bien qu’aucun des deux pays n’a officiellement confirmé un déplacement, il est estimé que Xi Jinping va profiter du sommet Chine – Etats arabes pour se rendre sur place. 

Plusieurs accords seraient en cours d’élaboration, notamment sur l’énergie – nucléaire en particulier – ou encore des accords de libre échange. 

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