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Purge politique pré-Congrès: le topo EIR

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Purge politique pré-Congrès: le topo EIR

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Le 26 septembre, la Commission centrale de contrôle de la discipline donnait ses résultats: en seulement un mois, elle a fait punir 7 752 membres du Parti pour violation de la discipline. 49 sont des cadres dirigeants de niveau de préfecture [地厅级领导干部], soit des cadres de haute responsabilité.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »18px »][thb_title style= »style6″ title= »Zhao Leji, maître de la répression politique, se dévoue entièrement à Xi Jinping »][vc_empty_space height= »18px »][vc_column_text]

Maître de la commission de contrôle de la discipline, également membre du Bureau politique, Zhao Leji [赵乐际] fait trembler les opposants à la ligne Xi depuis son arrivée en poste, en octobre 2017. Il remplaçait alors Wang Qishan [王岐山], un autre fidèle parmi les fidèle, qui avait notamment fait épurer l’armée et une partie des amis de Jiang Zemin pour faire place nette à son commandant, Xi Jinping.

A l’occasion des réunions pré-congrès, Zhao Leji a averti les députés: “认真学习习近平总书记在省部级专题研讨班上的重要讲话精神,深刻认识新时代十年的伟大变革” Vous devenez étudier soigneusement l’esprit des discours de Xi Jinping, et comprendre profondément le glorieux changement que représente la Nouvelle Ere ». En traduction française, cela signifie: « soumettez vous à Xi, il ne suffit pas de faire semblant, l’adhésion doit être, désormais, totale« .

La Nouvelle Ere, c’est avant tout les « deux établissements » [两个确立], rappelle Zhao Leji. C’est à dire la puissance absolue de Xi Jinping et la nécessité de suivre sa « pensée » à la lettre. Ces deux établissements, il faut les mettre en oeuvre partout, dans les commissions, dans les administrations, dans l’armée.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »18px »][thb_title style= »style6″ title= »La politique anti-corruption est populaire – elle adresse de vrais problèmes »][vc_empty_space height= »18px »][vc_column_text]

Il est certain que les victimes de cette commission ont souvent été les opposants, voire tout simplement les éléments gênants pour Xi Jinping.

Récemment, l’arrestation de Sun Lijun, l’ancien chef de la sécurité intérieure qui s’était lui-même mis au service de la répression politique pour Xi, en est l’exemple. Assez puissant désormais, le maître de Zhongnanhai place désormais ses affidés dociles aux postes les plus essentiels.

L’arrestation de Sun Lijun a semé le trouble chez les observateurs. Il était censé représenter un allié de Xi. Mais dans la nouvelle ère, il ne suffit plus d’être un ami, il faut être un enthousiaste zélé du Président.

La corruption, en Chine, est une réalité. Plusieurs points reviennent régulièrement dans les motifs d’arrestations:

  • L’opposition politique (comme nous venons de le dire)
  • Le détournement d’argent destiné aux administrés
  • La collusion avec la pègre locale
  • L’inaction derrière le formalisme

Et chacun de ces motifs est réel. Quand il s’agit d’arrestations, le Parti est extrêmement transparent.

Les voyageurs attentifs, en Chine, ont tous dû déjà rencontrer les fruits de ces défaillances dans les villes petites et moyennes, notamment éloignées de Pékin.

La corruption endémique est un problème structurel du Parti. Les cadres dirigeants, pour obtenir les résultats exigés par Pékin, et gouverner en bonne intelligence avec les puissances locales (puissance d’argent, puissance d’influence), doivent passer par la « corruption ». Personne n’en sort indemne.

En d’autres termes, le Parti s’érige en solution du problème qu’il crée par nature. 

Dans ces conditions, personne n’est à l’abri. Xi Jinping exige désormais des cadres du Parti qu’ils soient « purs ».

Traduction: « tous ceux qui ne sont pas avec moi, sont contre moi, et je n’hésiterai plus à frapper« .

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »18px »][thb_title style= »style6″ title= »Qui sont les dernières victimes ? »][vc_empty_space height= »18px »][vc_column_text]

Les dernières purges ont particulièrement frappé les politiques, et en particulier ceux de haut niveau.

Nous avons parlé de Sun Lijun, et nous avons aussi traité le cas de Li Jianping. Récemment, Xiao Yaqing, le ministre de l’Industrie a été mis en examen, lui aussi.

Au niveau bancaire, 3 hauts responsables de la Commission chinoise de réglementation des banques et des assurances et de la banque centrale (succursales du Henan et de l’Anhui) sont aussi tombés le 29 juillet.

En tout, 25 très hauts responsables ont été mis en examen pendant entre janvier et juillet, rapport le très officiel Global Times. Ces 25 personnes sont au-dessus du niveau Vice-ministériel. C’est un record annuel depuis l’arrivée au pouvoir de Xi Jinping, et le signe que les tractations pré-Congrès ont débouché sur des conclusions plutôt favorables pour le Secrétaire général du Parti.

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