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Passe Muraille n°71 – semaine du 1er mars

Passe Muraille n°71 – semaine du 1er mars

[vc_row][vc_column width= »1/2″][thb_title style= »style7″ title= »Editorial »][vc_column_text animation= »animation fade-in »]Dans une nouvelle formule, peut-être un peu plus légère, en gardant à l’esprit la mission: informer sur la Chine.

L’aventure reprend.  不忘初心。

Noé Hirsch[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][vc_separator color= »juicy_pink »][vc_row_inner][vc_column_inner alignment= »center »][vc_empty_space height= »26px »][vc_column_text]Vous souhaitez une information plus détaillée et précises sur les sujets qui vous intéressent, faites nous confiance et essayez nos newsletters personnalisées ![/vc_column_text][thb_button link= »url:https%3A%2F%2Feastisred.fr%2Fcomposition|title:Essayez%20EastIsRed%20Watch|target:%20_blank| »][vc_empty_space height= »16px »][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_empty_space height= »48px »][vc_single_image image= »21094″ img_size= »medium » alignment= »center »][vc_empty_space][vc_column_text]

Sommaire

Affaires intérieures

L’essentiel

Brèves

Affaires économiques

L’essentiel

Brèves

Industries et Technologies

L’essentiel

Brèves

Affaires diplomatiques

L’essentiel

Brèves

Affaires militaires

L’essentiel

Brèves

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_empty_space][vc_separator color= »juicy_pink »][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row el_id= »Affairesdomestiques »][vc_column][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »] [/vc_column_text][thb_title style= »style4″ title= »Affaires intérieures »][vc_empty_space][vc_row_inner el_id= »FocusInterieur »][vc_column_inner][thb_title style= »style5″ title= »L’essentiel »][vc_empty_space height= »16px »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

La quatrième session du 13e Comité national de la Conférence consultative politique du Peuple chinois (CCPPC) a commencé.

Wang Yang[mfn]汪洋[/mfn], président de la CCPPC et fonctionnaire au 4e rang du Parti, a présenté le rapport de travail annuel du Comité: plus d’une centaine de conférences organisées autour de « la pensée de Xi Jinping » et de « la construction d’un fort sentiment de communauté au sein de la nation chinoise« , confirmant d’emblée le rôle de simulacre qu’occupe cette institution. Plus qu’un organe responsable, la CCPPC sert de rendez-vous avec les groupes non-PCC, dont le point focal demeure les questions de Taïwan et de Hong-Kong. A cet égard, Wang Yang a appelé à « unir les fils et les filles de Chine au pays et à l’étranger pour promouvoir ensemble la grande cause de la réunification nationale ». Sans même évoquer le principe de « Un pays, deux systèmes« .

Li Keqiang[mfn]李克强[/mfn] a également présenté le rapport de travail du gouvernement; Points à retenir:

  • La Chine se fixe un objectif de croissance «supérieur à 6%» pour 2021.
  • La réforme du système électoral de Hong Kong et la protection contre l’ingérence étrangère figurent parmi les priorités du gouvernement.
  • Le budget de la défense a été augmenté de 6,8%.
  • L’âge de la retraite sera reporté.
[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner el_id= »BrèvesIntérieures »][vc_column_inner][thb_title style= »style5″ title= »Brèves »][vc_empty_space height= »16px »][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Nourrir 1.4M de chinois: nouvelle roadmap »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]La Chine a déployé une feuille de route pour stimuler la production agricole, soulignant les préoccupations concernant la sécurité alimentaire après que le pays a importé des quantités record de viande, de maïs et de soja l’année dernière. La nouvelle feuille de route présentée devant l’Assemblée (两会) prévoit l’octroi massif de subventions pour motiver les producteurs nationaux de céréales.

Li Keqiang a rappelé, vendredi, que « Veiller à ce que notre peuple ait suffisamment de nourriture reste une priorité absolue pour notre gouvernement (…) Les semences et les terres cultivées sont essentielles pour sauvegarder la sécurité alimentaire de la Chine ».

Le pays maintiendra sa production céréalière à plus de 650 millions de tonnes par an, un objectif qu’il a dépassé au cours des six dernières années, tout en veillant avec intérêt à la préservation des terres arables et au maintien d’un prix de vente minimum (à déterminer) pour encourager la production agricole.

[/vc_column_text][thb_title style= »style6″ title= »Tensions législatives Pékin-Province »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Quishi a publié un extrait d’un discours de Xi Jinping datant de novembre et critiquant vertement les lois locales remplaçant de manière indue la législation nationale, qualifiant ce phénomène de ‘relâchement législatif. Un amendement de 2015 à la loi sur la législation a délégué un pouvoir de légiférer à 273 villes supplémentairesSelon Xi, un des clés est de partir de la réalité locale pour résoudre les problèmes en suspens. Pour régler les trop grandes audaces législatives, il a néanmoins appelé à un examen approfondi pour abroger les règlements locaux incompatibles avec la loi nationale.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Plus de mandarin en Mongolie Intérieure »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Vendredi, Xi Jinping a appelé à renforcer l’usage du mandarin dans ce vaste territoire du nord de la Chine, qui compte quelque 25 millions d’habitants, dont un cinquième sont des Chinois d’ethnie mongole. Il a demandé à renforcer en Mongolie-Intérieure l’usage du mandarin « langue nationale commune », et à favoriser dans les écoles de la région les « outils pédagogiques nationaux », afin de rectifier les « fausses idées » sur la culture et la nationalité.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »La lenteur des vaccinations inquiète »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Fin février, moins de 4% de la population chinoise avait reçu une dose de vaccin, contre 30% au Royaume-Uni et à 22% aux États-Unis. La Chine devrait être en mesure de vacciner complètement 40% de la population d’ici la fin juillet. Selon Zhang Wenhong[mfn]张文宏[/mfn], directeur du département des maladies infectieuses de l’hôpital Huashan de Shanghai, elle doit vacciner 70% de la population pour atteindre l’immunité collective. La lenteur de la production et de l’administration des doses s’ajoute aux doutes et au refus d’une partie des chinois de se faire vacciner. Selon certaines rumeurs, il y a déjà eu de nombreux « accidents » avec des vaccins produits en Chine.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Xi aux futurs cadres du Parti: « osez lutter!« « ][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Xi s’est rendu à l’école centrale du parti (CPS) dans le quartier Haidian de Pékin, pour exposer les 5 traditions à défendre au sein du Parti; (1) fidélité au Parti; (2) combiner la théorie et la pratique; (3) servir le peuple; (4) s’engager dans la réflexion et l’autocritique; (5) oser lutter. En effet, le projet politique de Xi Jinping s’oriente progressivement vers la lutte contre les influences étrangères et les éléments subversifs présents sur le territoire. Ce recadrage vise autant l’opposition politique de plus en plus muselée que les entreprises étrangères présentes en Chine.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Hong-Kong: la fin d’une démocratie »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Le parlement chinois s’apprête cette semaine à adopter une nouvelle loi électorale pour garantir que seules les personnes que Pékin considère comme des «patriotes» dirigent le gouvernement, la législature et la justice de Hong Kong. Selon un membre de l’ establishment pro-Pékin de Hong Kong (à FT), « les manifestations [de 2019] sont allées trop loin, Hong-Kong a perdu la confiance de la Chine ». La nouvelle loi électorale portera la législature à 90 sièges, dont seulement 20% seront issus d’élections directes. Pour Han Dayuan[mfn]韩大元[/mfn], membre du Comité des lois fondamentales de Hong Kong du Comité permanent de l’Assemblée populaire nationale et professeur à la faculté de droit de l’Université Renmin de Chine, « les forces séparatistes radicales locales se sont entendues avec les forces étrangères, ont ouvertement réclamé « l’indépendance de Hong Kong » et ont mené un chaos anti-chinois à Hong Kong », reprenant la même dénaturation conceptuelle à l’œuvre avec Tiananmen (influences étrangères et PCC amalgamé « aux chinois »).

Lundi, le directeur du bureau des affaires de Hong Kong et de Macao, Xia Baolong, a organisé un symposium sur le concept de «patriotes gouvernant Hong Kong», afin de soutenir que les « non-patriotes » devraient être exclus de la structure de gouvernement de la ville. Le patriotisme manque encore de définition, et ce concept flou permettra de museler les derniers Partis d’opposition de la ville.

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column_inner][/vc_row_inner][thb_title style= »style5″ title= »Société »][thb_title style= »style6″ title= »Myopie: la nouvelle pandémie chinoise »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

La Chine a l’un des taux de myopie infantile les plus élevés au monde – plus de la moitié de la population de mineurs en 2018, selon les statistiques officielles . Et les taux semblent à la hausse de façon alarmante – en particulier parmi les étudiants. En 2014, environ 80% des élèves du secondaire étaient myopes. En 2018, une enquête officielle a également révélé que 72% des enfants âgés de 12 à 14 ans souffraient de myopie, contre 58% en 2010.

Selon Waldo, cofondateur de la société Mantra [interrogé par Raadichina], « de nombreux adultes dans les régions rurales de la Chine ont une mauvaise perception des lunettes – qu’elles provoquent en fait la myopie. L’idée est que les enfants qui «résistent» pourraient s’améliorer naturellement, tandis que les étudiants qui portent des lunettes deviendront dépendants d’eux« . Fatalement, la myopie non traitée contribue à aggraver le taux d’échec scolaire dans la ruralité. Pour les urbains, le manque d’activité en plein air et l’accès illimité aux écrans sont les premiers coupables. Dans le cadre de la pandémie de Covid-19, l’utilisation accrue de la technologie et de l’apprentissage en ligne n’a apparemment fait qu’exacerber le problème. En août 2020, le ministère chinois de l’Éducation a rapporté que le taux de myopie avait augmenté de 11,5% au cours des six premiers mois de l’année seulement.

 [/vc_column_text][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_empty_space][vc_separator color= »juicy_pink » border_width= »3″][vc_empty_space][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row][vc_row el_id= »Economie »][vc_column][thb_title style= »style4″ title= »Economie »][vc_empty_space][vc_row_inner disable_element= »yes » el_id= »FocusEco »][vc_column_inner][thb_title style= »style5″ title= »L’essentiel »][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Géographie économique du Shandong »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

La semaine passée, nous revenions brièvement sur la politique de “consolidation” des villages dans la province du Shandong. A la suite de cet événement qui a marqué l’opinion publique chinoise, l’économie du Shandong s’est retrouvée au centre de l’attention médiatique, et ce, pour plusieurs raisons. Dans un article publié par Southern Window, le média qui avait révélé l’affaire des consolidations de village, les journalistes examinent les problèmes liés à la géographie économique de la province du Shandong. Forte d’une population de plus de 100 millions d’habitants, d’un PIB de plus 7 trillions de RMB (1.100 milliards de dollars), le Shandong est une région dynamique et, du moins en apparence, riche.

Or, la croissance de la province est plutôt en berne et les opportunités peu nombreuses, en témoigne l’exode massif de population (le Shandong est la province qui a “perdu” le plus d’habitant l’année précédente.) En cause selon certains, le manque de moteurs économiques identifiés au sein de la province. Les autres provinces économiquement dynamiques de la Chine sont en général construites autour d’un couple de villes, bien souvent la capitale et un port commercial. On retrouve par exemple ce schéma dans le Zhejiang (Hangzhou & Ningbo), dans le Fujian (Xiamen & Fuzhou) ou dans le Liaoning (Shenyang & Dalian). Au Shandong, les centres urbains de Jinan (capitale provinciale) et Qingdao (principal port) ne comptent finalement pas tant que ça dans l’économie provinciale. Jinan en particulier est critiquée pour être une des capitales provinciales les plus “insignifiantes” du pays.

Ces dernières années, Jinan a réussi a rattraper une partie du retard sur la ville de Qingdao (elle même frappée par une légère récession), en intégrant notamment des districts voisins dans sa structure administrative. Néanmoins, la région de Yantai (métropole du Shandong, située au nord-est de Jinan) reste très puissante sur le plan économique, tandis que Jinan doit rester attractive en particulier face à l’expansion administrative et économique de Zhengzhou (Henan) mais aussi au rouleau compresseur économique que forme le plan d’intégration Beijing, Tianjin, Hebei (aussi appelé plan ‘jing, jin, ji’ – 京津冀).

Désormais, la province du Shandong mise sur les nouvelles technologies, notamment l’intelligence artificielle, pour laquelle une seconde zone pilote a été décrétée. Surtout, plusieurs plans visant à renforcer l’intégration administrative, les transports et les infrastructures provinciales ont été lancés pour permettre à Jinan et plus largement au Shandong de retrouver une certaine attractivité.

[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner el_id= »BrèvesEco »][vc_column_inner][thb_title style= »style5″ title= »Brèves »][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »6% de prévision de croissance du PIB pour 2021″][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

C’est ce qu’a annoncé le Premier ministre Li Keqiang devant le Comité National. L’objectif fixé est inférieur aux estimations du marché pour une croissance du PIB sur une année complète qui varie de 8% à 10% et réaffirme l’accent mis par les principaux dirigeants sur la qualité de la croissance plutôt que sur la vitesse.

L’année dernière, la Chine avait abandonné sa pratique vieille de plusieurs décennies consistant à fixer un objectif de croissance annuelle du PIB, l’impact de Covid-19 ajoutant l’incertitude économique. Le PIB de la Chine a augmenté de 2,3% en 2020, le plus bas depuis 1976. Le pays était cependant la seule grande économie à se développer au milieu de la pandémie.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »La Chine reste l’usine du monde »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

La production du secteur manufacturier du pays a augmenté de 2,3% pour atteindre 26,6 billions de yuans (~3,4 billons d’euros) en 2020, selon les données du Bureau national des statistiques (NBS); la Chine conserve son titre de plus grand manufacturier au monde pour la 11ème année consécutive.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Vague de fermeture dans les petites entreprises »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Une étude menée par le professeur de l’Université Tsinghuaa révélé que le taux de fermetures de petites entreprises en Chine 2020 en glissement  annuel a triplé, atteignant 18,5%. Les secteurs de l’éducation, du divertissement ainsi que de l’agriculture et de la pêche ont été les plus durement touchés, avec des taux de fermeture de 33%, 31,7% et 27,6% respectivement. Les secteurs du transport, du stockage et de l’industrie ont été les moins touchés, avec des taux de fermeture de 13,3%, 15,4% et 16% .

[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_empty_space][vc_separator color= »juicy_pink » border_width= »3″][vc_empty_space][vc_row_inner content_placement= »middle »][vc_column_inner alignment= »center »][vc_column_text]

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Jeudi 16 juillet, TSMC a annoncé que l’entreprise n’avait pas l’intention de prendre de nouvelles commandes venant de Huawei passée la date fatidique du 14 septembre 2020, date à partir de laquelle les nouvelles restrictions américaines prendront effet. L’entreprise n’a pas non plus reçu ou produit des équipements pour Huawei depuis le 15 mai. Huawei comptait pour 14% des revenus de TSMC en 2019. L’entreprise taïwanaise reste confiante dans ses capacités à surmonter la perte du client chinois.
Pour Huawei par contre, la situation est plus complexe : certes, l’entreprise a accumulé un stock de micro-processeurs conçus par HiSilicon, mais même en privilégiant les téléphones haut de gamme, impossible de savoir combien de temps ces stocks dureront. Il en va de même pour les processeurs liés aux stations 5G.

Les alternatives à TSMC pour la fabrication de microprocesseurs sont peu nombreuses, pour ne pas dire inexistantes. SMIC, la principale fonderie chinoise qui a fait une introduction retentissante en bourse le 16 juillet, a trois générations de retard sur TSMC. Ainsi, la fabrication des processeurs les plus avancés ne peut lui être confiés. Pour Huawei, les options sont donc peu nombreuses. Si il a été un temps question de se fournir auprès de Samsung ou encore Mediatek (une autre fonderie taïwanaise), ces deux entreprises ont recours à la propriété intellectuelle américaine et par conséquent ne pourront peut être pas produire pour le compte de Huawei après le 15 septembre. C’est notamment une question en suspens pour Honor (une marque affiliée à Huawei).

L’autre option est de passer à un modèle dit “IDM” – pour Integrated Device Manufacturer, c’est à dire une entreprise qui est capable de mener la conception, la fabrication et l’intégration des circuits intégrés – aujourd’hui Intel, Samsung et Micron sont des IDM. L’idée serait alors pour Huawei d’acheter sur étagère des équipements nécessaires à la production de circuits intégrés. Selon Yi’ou, des rumeurs circulent sur le fait que Huawei ait trouvé une chaîne de production de circuits intégrés capable d’une finesse de gravure de 130 nm, dépourvue de propriétée intellectuelle américaine. D’autres rumeurs parlent d’une ligne de production en 28 nm, sans propriété intellectuelle américaine, négociée avec Samsung et TSMC. Des rumeurs peu crédibles selon les experts, qui forcent Huawei à considérer les options nationales, aussi imparfaites soient-elles.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Petite histoire des systèmes d’exploitation chinois »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Extraits d’un long format publié par Huxiu. Dès les années 1950, le premier ministre Zhou Enlai a ordonné la mise en place dans la banlieue de Pékin de la base n°200. Cette “base” abritait un projet mené par des physiciens et des mathématiciens de l’université de Pékin pour développer un système de calcul moderne améliorant les résultats des données issues de l’exploration et de l’exploitation pétrolière. Il s’agit dans un sens de la première tentative chinoise de développer des “systèmes d’exploitation” nationaux. Dans les années 1980, la Chine a tenté l’expérience à partir des systèmes commerciaux plus récents. En 1989, les autorités ont voulu développer une version concurrente de DOS (sortie en 1981), nommée COSIX. A l’époque, Windows n’était pas disponible en chinois, et le projet était soutenu par une communauté scientifique chinoise. L’arrivée de Windows en 1994 a balayé ce travail et a mis temporairement fin aux projets nationaux de systèmes d’exploitation.

En 1998, un doctorant chinois revenant de Finlande ramène dans ses bagages les premières versions de Linux. En Chine, il y a eu quatre grands projets Linux : Xteam, Landian (蓝点), China Soft (中软),  et RedFlag (红旗). Les deux premiers sont des entreprises privées Xteam venant de Pékin et Landian de Shenzhen, tandis que les deux dernières des “champions d’Etat”. ChinaSoft avait autrefois travaillé sur COSIX et RedFlag est soutenu par l’Académie des Sciences.

En 2001, Microsoft et la municipalité de Pékin s’opposent dans un contrat pour la fourniture de Windows XP et autres suites Office. A l’issue d’une rocambolesque affaire de lobbying, Microsoft se voit rafler le contrat par des “alternatives locales”. Les conséquences furent doubles : d’une part les entreprises mentionnées précédemment virent leur valorisation en bourse exploser, poussés par la “demande” pour des logiciels chinois. D’autre part Microsoft fut amené à changer de stratégie : partenariats locaux, investissements dans les entreprises de logiciels chinois, etc. Cette stratégie fut payante puisqu’en 2004 la municipalité de Pékin passa un contrat avec Microsoft .Les alternatives chinoises eurent d’autant plus de difficultés à survivre que leurs produits, basés sur des versions de Linux, n’étaient pasadoptés massivement par l’Etat, les entreprises, ou les particuliers. Si Lenovo proposait un temps un PC avec une version de Linux installée par défaut sur l’ordinateur, les utilisateurs finissaient toujours par installer Windows. Très vite, Microsoft commença à attaquer les entreprises qui vendaient des copies piratées de Windows. Si elle connu un certain succès, la stratégie agressive de Microsoft eut pour conséquence de perdre à nouveau l’opinion publique.

Du côté des OS pour téléphones portables, les développeurs et entreprises chinoises ont connu plusieurs déconvenues. La première, c’est celle de l’OMS (Open Mobile System), issue d’un partenariat entre ChinaMobile, Microsoft et Google. Ce partenariat, établi en 2007, n’aura jamais réellement intéressé Google et Microsoft, tandis que ChinaMobile s’est enfermé dans des choix technologiques incompatibles avec Android, alors en développement. La seconde, c’est la tentative avortée par Alibaba de développer YunOS. Alibaba a tenté des alliances avec le constructeur taïwanais Acer ou encore Meizu, mais sans succès. Baidu Cloud OS fut également un échec. Finalement, l’article conclut sur un retour à l’actualité : Huawei exclut de l’écosystème Android ramène la Chine face à ses démons : premiers constructeurs de téléphones et d’ordinateurs, les entreprises chinoises restent dépendantes des logiciels anglo-saxons et américains en particuliers.

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner el_id= »BrèvesEntreprises »][vc_column_inner][thb_title style= »style5″ title= »Brèves »][thb_title style= »style6″ title= »Huobi Technology Holdings Ltd. »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Huobi Technology Holdings Ltd., la plus grande plateforme d’échange de crypto-monnaie de Chine, a obtenu via sa filiale de gestion d’actifs l’approbation du régulateur des valeurs mobilières de Hong Kong pour lancer des fonds de gestion d’actifs 100% crypto. Trois fonds seront créés à cet effet pour investir entièrement dans les monnaies numériques: Bitcoin, Ethereum et d’autres actifs cryptographiques. Les fonds seront similaires à ce que Grayscale propose aux investisseurs américains. La société n’a pas révélé la taille des fonds prévus.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Clubhouse, fenêtre éphémère de liberté »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Des centaines d’utilisateurs de Chine continentale ont pu se connecter en ligne pour participer à des discussions sans restriction, y compris des sujets politiquement sensibles impliquant le détroit, le Xinjiang, Hong Kong, et l’homosexualité sur cette nouvelle application américaine. Elle a été fermée lundi par les autorités chinoises, sous prétexte de « défendre la Chine contre l’ingérence étrangère ». Clubhouse a notamment permis à de nombreux chinois de communiquer directement avec des taïwanais, et à d’autres d’entendre le témoignage de Ouïghours et de Hans témoins de la répression à l’œuvre dans le Xinjiang. L’élitisme intrinsèque de la plateforme (nécessité de posséder un Iphone), et la nécessité d’être invité par lien spécifique a permis de filtrer d’emblée 70% de la population chinoise réservant son accès à l’élite libérale chinoise, ce qui explique notamment la qualité des interventions aux yeux des observateurs occidentaux.

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_empty_space][vc_separator color= »juicy_pink » border_width= »3″][vc_empty_space height= »48px »][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row][vc_row el_id= »Affairesdiplomatiques »][vc_column][thb_title style= »style4″ title= »Affaires extérieures »][vc_empty_space][vc_row_inner el_id= »FocusDiplomatique »][vc_column_inner][thb_title style= »style5″ title= »L’essentiel »][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Chine – Europe »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]Le service externe de l’UE a officiellement protesté contre la nouvelle offensive de Pékin contre la démocratie de Hong-Kong, dans un communiqué en date du 4 mars:

« L’UE appelle les autorités de Pékin à examiner attentivement les implications politiques et économiques de toute décision de réforme du système électoral de Hong Kong qui porterait atteinte aux libertés fondamentales, au pluralisme politique et aux principes démocratiques. Comme convenu par les ministres des Affaires étrangères de l’UE, l’UE est prête à prendre des mesures supplémentaires en réponse à toute nouvelle détérioration grave des libertés politiques et des droits de l’homme à Hong Kong, ce qui serait contraire aux obligations nationales et internationales de la Chine. »

La Grande-Bretagne,  a déclaré qu’elle «surveillerait de près le résultat» des événements législatifs toujours en cours à Pékin, tout en ouvrant ses portes aux réfugiés de son ancienne colonie.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner el_id= »BrèvesDiplomatique »][vc_column_inner][thb_title style= »style5″ title= »Brèves »][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Microsoft: les cybercriminels chinois sortent de l’ombre »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

En janvier 2021, des pirates chinois connus sous le nom de Hafnium ont commencé à exploiter les vulnérabilités des serveurs Microsoft Exchange (avec un attaque 0-day), qui a décidé de rendre publique cette intrusion dans un communiqué ce mardi. Depuis, ce groupe de hackers, rejoint par 4 nouveaux groupes chinois, a augmenté drastiquement la fréquence de ses attaques : la liste croissante des victimes comprend des dizaines de milliers d’entreprises et de bureaux gouvernementaux américains. Hafnium est un groupe de piratage chinois sophistiqué qui mène depuis longtemps des campagnes de cyberespionnage contre les États-Unis, selon Microsoft. En exploitant les vulnérabilités des serveurs Microsoft Exchange, que les organisations utilisent pour gérer leurs propres services de messagerie, les pirates peuvent créer un Code Encoquillé (shell Web), un outil de piratage donnant accès et contrôle par backdoor de la machine infectée, ce qui permet de contrôler le serveur compromis et voler des données sur tout le réseau de la cible.

Cette attaque concerne des centaines de milliers de victimes potentielles.[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »Xi à la chasse aux produits agricoles »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Xi a appelé successivement le président tadjik Emomali Rahmon et le président polonais Andrzej Duda pour assurer que la Chine est prête à importer de plus grandes quantités de produits agricoles de qualité.
Alors que l’administration Biden rallie publiquement ses alliés contre les pratiques chinoises en matière de droits humains, Xi cherche à rappeler à ses dirigeants mondiaux qu’il y a de grands avantages économiques à traiter avec la Chine[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »La Roumanie résiste aux vélléités chinoises »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]

Le gouvernement de coalition de centre-droit roumain cherche à exclure les entreprises étrangères, y compris chinoises, des marchés publics. Il a adopté un mémorandum pour interdire les opérateurs de pays non européens non habilités par l’Union afin d’accélérer la construction de grands projets comme les autoroutes. Cette initiative intervient moins d’un an après que la Roumanie choisisse d’exclure la participation de Huawei à la construction de son réseau 5G. Le vice-Premier ministre Dan Barna a déclaré à POLITICO que les principaux piliers de la politique étrangère roumaine étaient « l’UE, l’OTAN et le partenariat stratégique avec les États-Unis ». Echaudés par le souvenir de l’intimidation politique de l’URSS, les dirigeants Roumains opposent à la diplomatie agressive de Pékin une résistance farouche. Un responsable politique roumain de haut niveau, qui suit de près les relations avec Pékin, a déclaré: « Ils semblent essayer de nous imposer leur propre modèle … les Chinois ont montré le même comportement agressif que la Russie ».

[/vc_column_text][vc_empty_space height= »16px »][thb_title style= »style6″ title= »La France naviguera en Mer de Chine »][vc_column_text animation= »animation top-to-bottom »]
Après l’envoi du sous-marin d’attaque nucléaire Émeraude et du navire de soutien naval Seine à travers la mer de Chine méridionale début février, la France prépare un autre transit pour faire pression sur les revendications de Pékin sur la voie navigable en envoyant un navire d’assaut amphibie, le Tonnerre, et la frégate Surcouf traverser les eaux contestées à deux reprises dans le cadre de sa mission annuelle Jeanne d’Arc, qui a débuté le 18 février. Les navires de guerre éviteront de traverser le détroit de Taiwan, un point critique dans les tensions américano-chinoises, mais il semble que le gouvernement français n’exclut pas de changer de route. Si la France choisit de ne pas traverser le détroit de Taiwan [contrairement à son passage en 2019], « cela pourrait certainement être vu comme une tentative de Paris d’équilibrer son objectif stratégique de défense de la liberté de navigation dans la région tout en essayant d’empêcher une détérioration des relations avec Pékin », a déclaré Helena Legarda, analyste senior au Mercator Institute for China Studies.
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Depuis début Mars, des organisations civiles péruviennes mettent en garde contre les graves conséquences sur la santé humaine et l’environnement qui pourraient résulter de la construction du terminal portuaire polyvalent de Chancay, un projet mené par la société chinoise COSCO et par une société extractive péruvienne, Volcan Compañía  Minera.

COSCO vise à faire du port de Chancay un « hub clé de l’Amérique du Sud et une porte d’entrée vers le Pacifique»;  le port est situé à 58 kilomètres au nord de Lima, la capitale politique et commerciale du Pérou. Les autorités portuaires de Chancay ont déclaré que le projet créera plus de 9 000 emplois, dont 90% seront occupés par la population locale. COSCO possède 60% des part de Volcan dans ce port depuis 2019.

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La Chine a annoncé vendredi un budget militaire en légère hausse de 6,8% pour 2021. Pékin prévoit de dépenser 1.355,34 milliards de yuans (~175 milliards d’euros) pour sa défense, ce qui reste trois à quatre fois inférieur aux dépenses de Washington. Pour le quotidien porte-parole de Pékin Global Times, il ne fait aucune doute que cette augmentation sera utilisée par les médias occidentaux pour nourrir la « théorie de la menace chinoise[mfn]中国威胁论[/mfn] »; « ces dépenses relèvent des affaires intérieures du pays, et les étrangers ne sont pas fondés à intervenir ou à faire des remarques irresponsables« . Et de rappeler que la Chine joue un rôle actif et important dans le maintien de la paix et du développement dans le monde.

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Mardi 16 juin, le président Xi Jinping a signé de nouvelles régulations sur l’enseignement dans les académies militaires. D’après le résumé publié dans le Quotidien du Peuple, les nouvelles réglementations visent à standardiser certains enseignements, tant sur le plan militaire que politique et régulent également différentes pratiques dans les universités militaires.

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Le CSIS a publié mardi 16 juin une étude sur le réseau de senseurs chinois déployés à proximité de Hainan, tant sur terre qu’en mer. La publication du CSIS explique que ces capteurs, s’ils ont officiellement une fonction de surveillance météorologique, sont utilisés pour accroître la couverture radar chinoise en mer de Chine du Sud et améliorer sa capacité à recueillir l’information dans cette vaste région contestée.

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